Les soeurs 
                                                                                 
Entre 25 et 93 ans, toutes les générations sont représentées.
 
Sur 17 sœurs,  seulement 5 sont provençales. Les autres viennent d’un peu partout : Jura, Tarn, Bretagne, Ile de France, Gironde, Bourgogne, Auvergne, Haute-Garonne, sans oublier  la Réunion!
Mais la communauté, elle, est bien provençale, avec la joie et la simplicité qui caractérisent les gens de cette région. Il en découle un climat très familial.
 
La communauté elle-même est comme une personne à la fois  façonnée par son passé et sans cesse en devenir. Au-delà des visages qui la composent, elle a un visage qui lui est propre, modelé par Dieu au fil du temps et constitutif de son unité.
Elle est riche d’une histoire écrite en un lieu avec toutes ces personnes choisies par Dieu qui l’ont rendue et la rendent vivante.
La vie fraternelle
 
La vie fraternelle est de très grande importance dans notre vie dominicaine.
Parce que selon la règle de saint Augustin que nous suivons :
«Notre première raison d’être rassemblées en communauté, c’est d’habiter ensemble dans l’unanimité.»
C’est-à-dire de n’avoir plus en Dieu qu’une seule âme et qu’un seul cœur.
Et nos constitutions fondant tout sur la charité commencent par la vie fraternelle.
 
Certains domaines de notre vie sont explicitement établis pour  favoriser cette fraternité:
- la célébration de la liturgie : qui selon nos Constitutions est « le cœur de notre vie qui y trouve la racine principale de son unité. »
- le chapitre : Lieu où les sœurs fraternellement rassemblées sous la conduite de la prieure, s’entraident mutuellement à promouvoir la vie de la communauté en échangeant sur des thèmes précis (décisions à prendre / informations concernant la communauté / mais aussi partage spirituel). C’est aussi le lieu où l’on se demande pardon.
- la récréation : qui selon nos Constitutions «doivent favoriser la connaissance mutuelle et la communion fraternelle. Que toutes s’y efforcent de plaire en tout à toutes, dans une joie toute simple.»  La joie est une réalité très présente dans notre vie dominicaine. Un de nos frères, Réginald, que l’Eglise a béatifié, a dit au soir de sa vie ces quelques mots très révélateurs : « je crois n’avoir aucun mérite à avoir vécu dans cet Ordre car j’y ai toujours trouvé trop de joie. »
- Le réfectoire : le repas partagé ensemble, en silence, est un signe parlant de communion fraternelle et la lecture que nous entendons construit un patrimoine commun.
Un nouveau site vous attend:
https://dominicainesstmaximin.org/
auprès de sainte
Marie-Madeleine
haut lieu de pèlerinage
de la Provence chrétienne
Monastère de sainte Marie-Madeleine -1781 chemin du Deffends
83470 Saint Maximin Sainte Baume
04 94 78 04 71 - www.saintebaume.org
Sainte-Baume
Roc de la miséricorde